Il incombe à celui qui s'oppose au report de prouver que des actes de collaboration ont eu lieu postérieurement à la séparation des époux

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Une ordonnance de non-conciliation du 13 juillet 2001 a autorisé les époux X. à résider séparément. Un arrêt a débouté les époux de leurs demandes en divorce. Suite à l'introduction d'une nouvelle instance en divorce, une deuxième ordonnance de non-conciliation a constaté que les époux vivaient séparément et attribué à l’épouse la jouissance du domicile conjugal à titre onéreux. Le divorce de époux a ensuite été prononcé. Dans un arrêt du 8 septembre 2008, la cour d'appel de Versailles a rejeté la demande de l'époux tendant au report des effets du divorce au 1er septembre 2001, retenant que si les époux n’ont pas repris leur cohabitation, la cessation de leur collaboration n’est pas démontrée alors que l’épouse qui demeurait au domicile conjugal avait encore les enfants à sa charge. (...)

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