Vincent Pellier, Associé, Aramis

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Le Monde du Droit a interrogé Vincent Pellier qui vient de rejoindre Aramis en tant qu'associé.

Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre Aramis ?

Pour deux raisons principales. Le cabinet offre une gamme complète de services et de compétences en droit des affaires tout en demeurant de taille humaine. La conjugaison de ses talents et de son positionnement lui offre de formidables perspectives de développement.

Pouvez-vous nous décrire votre parcours ?

J’ai débuté comme collaborateur chez un mandataire judiciaire à Evry. J’ai ensuite travaillé chez des administrateurs judiciaires et ce n’est qu’après que je suis devenu avocat. J’ai alors intégré le cabinet de Christophe Théron pendant deux années. J’ai ensuite rejoint Bredin Prat durant six années avant de devenir counsel chez Willkie Farr pendant trois ans.

Qui a le plus influencé votre carrière ?

Plusieurs personnes en réalité, sans pouvoir toutes les citer. Je pense en particulier à Christophe Théron, Olivier Puech, Dominique Mondoloni, Hugues Calvet, Olivier Billard et Alexandra Bigot.

Quel est votre meilleur souvenir dans votre carrière ?

L’obtention de l’ouverture d’une procédure de sauvegarde au bénéfice d’un club de rugby, qui lui a permis de poursuivre ses activités, notamment la gestion d’une école de rugby pour les enfants.

Quels sont vos domaines de compétences ?

Le traitement des difficultés des entreprises dans leur ensemble (mandat ad hoc, conciliation, sauvegarde, redressement, liquidation, pre-pack etc.).
Le contentieux commercial, essentiellement lié aux procédures collectives mais pas uniquement.

Quelles sont, selon vous, les actualités marquantes de ces dernières semaines dans ces secteurs d'activité ?

Je pense aux difficultés rencontrées par les groupes dont l’activité est liée à l’industrie pétrolière. Necotrans et CGG ont ainsi récemment été en proie à de grandes difficultés, le premier ayant fait l’objet d’une cession à la barre tandis que le second a fait l’objet d’une profonde restructuration. 

Qui conseillez-vous ?

J’interviens fréquemment pour des actionnaires d’entreprises en difficulté, pour les entreprises elle-mêmes ou pour des candidats à la reprise (des fonds ou des groupes concurrents).

Quels sont vos objectifs pour ce cabinet ?

Participer à la croissance et à la notoriété de ce cabinet au cours des prochaines années.

Propos recueillis par Arnaud Dumourier (@adumourier)


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