Le Monde du droit a interrogé Jean Marc Sánchez, associé chez Carakters.
Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre Carakters ?
Le projet d’un cabinet jeune et en pleine expansion, tourné vers des matières nouvelles et une approche différente m’a séduit.
Pouvez-vous nous décrire votre parcours ?
Ancien responsable puis directeur juridique dans plusieurs grands groupes internationaux pendant plus de dix ans, je suis avocat à Paris depuis 1999, à Madrid depuis 2005 et responsable de la commission franco-espagnole du barreau depuis 2011.
J’ai achevé mes études et effectué une grande partie de ma carrière en entreprise à l’étranger, puis j’ai été avocat et associé de différents cabinets avant de devenir associé gérant du bureau parisien d’un des deux seuls cabinets espagnols à Paris.
Qui a le plus influencé votre carrière ?
L’expérience acquise en entreprise.
Quel est votre meilleur souvenir dans votre carrière ?
Avec trois autres anciens étudiants de la Faculté de Droit de Nantes nous avons fondé il y a vingt ans le Cercle Montesquieu.
Il existe toujours aujourd’hui.
Quels sont vos domaines de compétences ?
J’ai conseillé de nombreux clients en France et à l’étranger dans le domaine des contrats et des investissements internationaux et je suis notamment intervenu dans des opérations de reprises, de partenariats et de cessions de sociétés françaises ou étrangères.
De nationalité française et d’origine espagnole, j’ai toujours évolué dans un environnement international.
Quelles sont, selon vous, les actualités marquantes de ces dernières semaines dans ces secteurs d'activité ?
L’anticipation et la gestion du risque sont devenues des éléments indissociables de la stratégie des entreprises.
Qui conseillez-vous ?
De grandes compagnies d’assurance et de nombreux groupes industriels.
Quels sont vos objectifs pour le cabinet ?
Accroitre fortement sa visibilité au de-là du marché français où il est connu et reconnu depuis sa création notamment à travers un véritable développement international.
Carakters a obtenu la mention spéciale aux Trophées du Droit 2012.
Propos recueillis par Arnaud DUMOURIER
