Amy Frey : « J’entends participer activement à l'ambitieuse stratégie de croissance de McDermott »

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Le Monde du Droit a interrogé Amy Frey qui vient de rejoindre le bureau parisien de McDermott pour renforcer sa pratique arbitrage international.

Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre Mc Dermott ?

Lorsque le bureau parisien de McDermott m’a proposé de le rejoindre pour construire et développer une pratique d’arbitrage international, j’y ai vu une très belle opportunité.

En effet, McDermott Paris est déjà reconnu pour son expertise de pointe dans un grand nombre de secteurs qui intéressent mes clients, alors la possibilité de leur offrir une offre globale et internationale m’a définitivement séduite. Cela me permet également de rejoindre une équipe en arbitrage, à l’échelle internationale, ultra-compétente et très structurée.  

En outre, il règne chez McDermott un esprit de collaboration très constructif entre les équipes, une véritable dynamique ainsi qu’une forte culture d’entreprendre.

Quelle est la spécificité de votre pratique ?

Mon activité compte deux pans principaux.

Le premier est l’arbitrage international d’investissement et commercial ; dans ce cadre, j’interviens pour le compte de grands groupes, d’entreprises internationales et de particuliers dans tous secteurs d’activité. Je les conseille dans le cadre tant de procédures arbitrales institutionnelles (CIRDI, CCI, LCIA, Chambre de Commerce de Suède, etc.) que de procédures « ad hoc » sous les règles du CNUDCI.

Le second est le conseil en matière d’investissements étrangers ou de différends étrangers, soit dans le cadre de procédures contentieuses nationales visant à contester des sentences arbitrales étrangères ou leur exécution, soit dans le cadre de litiges européens relatifs à des aides d'État et d’arbitrages intra-européens.

Quels sont vos objectifs ?

J’entends participer activement à l'ambitieuse stratégie de croissance de McDermott, apporter aux clients du cabinet ma connaissance des litiges transfrontaliers et répondre, ainsi, à un besoin des entreprises, me semble-t-il, croissant, de gérer des contentieux de plus en plus complexes.

Par ailleurs, je souhaite m’investir dans les différentes initiatives dont le cabinet est à l’origine, et notamment ses actions pro bono.

Propos recueillis par Arnaud Dumourier (@adumourier


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