Depuis quelques années, le cabinet Rivedroit développe une politique de macènat afin de contribuer activement à la promotion des arts.
Ainsi en 2011 et 2012, Rivedroit a assisté l’Orchestre de Paris sur différentes missions et problématiques spécifiques du spectacle vivant.
De même, en 2013 et 2014, Rivedroit a conseillé le Centre Pompidou-Metz dans la préparation de son exposition "Paparazzis". Rivedroit a notamment accompagné le Centre Pompidou-Metz dans le choix des photographies exposées, en prenant en considération les problématiques juridiques liées au droit à l’image et au droit au respect de la vie privée.

Pour Rivedroit, cabinet dont la notoriété n’est pas encore bien établie, le mécénat de compétence est un bon moyen pour gagner rapidement en reconnaissance. Ensuite, les fondateurs du cabinet ont tous eu l’occasion de travailler à plusieurs reprises en lien avec le secteur artistique lors de leurs précédentes expériences professionnelles , et souhaitent continuer à être actifs sur ce secteur.
"Avec l’Etat qui se désengage progressivement du secteur culturel et les contraintes liées à la nécessité de passer des marchés publics y compris pour des prestations juridiques de quelques milliers d’euros, nous nous sommes aperçus que les acteurs de ce secteur accueillaient favorablement des propositions de services juridiques gratuits.", précise Nicolas Maubert, , associé fondateur de Rivedroit.

Cette année, le cabinet Rivedroit apportera son expertise juridique au musée du quai Branly.
En apportant son expertise juridique au musée du quai Branly, "le cabinet RIVEDROIT est très fier de s’associer à un musée dont le rayonnement, de par sa programmation et la nature de ses collections, dépasse largement nos frontières." explique Nicolas Maubert.
"Nous sommes très heureux de l’occasion qui nous est donnée de collaborer avec le musée du quai Branly" ajoute Nicolas Maubert. "Ce musée a pour mission de promouvoir les collections nationales d’œuvres d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques et les connaissances scientifiques qui s’y rapportent RIVEDROIT, dont les clients sont implantés sur cinq continents, a souhaité participer, aussi modestement soit-il à travers cette opération de mécénat de compétence, à cette mission"

En ce qui concerne le contenu de la prestation, il peut varier d’une année sur l’autre, en fonction du nombre d’heures sur lequel les avocats du cabinet s'engagent envers tel ou tel acteur. "On travaille parfois sur un sujet bien particulier (ex : l’organisation de l’exposition "Paparazzi" en 2014 au Centre Pompidou-Metz, qui a beaucoup fait parler d’elle mais qui a posé un certain nombre de questions aux organisateurs, notamment sur le droit à l’image et le droit au respect de la vie privée – le musée nous a d’ailleurs sollicité pour que nous rédigions un article de fond sur "le droit des photographes de la vie privée" qui a été publié dans le catalogue scientifique de l’exposition) ; d’autres fois, sur des problématiques très variées (par exemple nous organisons des formations sur le droit à l’image et sur le droit d’auteur au musée du quai Branly, nous les assistons dans la recherche d’ayant-droits, etc.). "Nous venons par ailleurs de commencer un partenariat avec le festival Les Rencontres d’Arles qui devrait en principe s’étaler sur plusieurs années et dans le cadre duquel nous allons être amenés à travailler sur divers sujets."

Enfin, Nicolas Maubert souligne que les contreparties accordées au mécène sont appréciables : "Outre le fait que c’est toujours enrichissant pour nous de travailler au côté d’institutions culturelles de premier plan, les contreparties indirectes traditionnellement accordées au mécène sont en général très agréables : invitations au concert lorsque nous étions mécène de l’Orchestre de Paris, invitations aux vernissages et à des visites privées de musées, mise à disposition d’espaces pour des évènements avec nos clients, etc. Comme certains font du pro-bono en prenant des dossiers pénaux non rémunérés, nos actions de mécénat nous permettent également de "donner un peu de notre temps" à la société."