Stanislas Richoillez, Associé, Beylouni Carbasse Guény Valot Vernet

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Stanislas Richoillez - Avocat - Beylouni Carbasse Guény Valot VernetLe Monde du Droit a rencontré Stanislas Richoillez qui vient de rejoindre le cabinet Beylouni Carbasse Guény Valot Vernet en tant qu'Associé.

Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre le cabinet Beylouni Carbasse Guény Valot Vernet ?

J'avais très envie depuis un certain temps de participer à une aventure entrepreneuriale mais à condition que cela se fasse avec des personnes de confiance et ayant la même vision que moi, à savoir développer un cabinet disposant de réelles expertises et ayant un projet audacieux et ambitieux. Et le cabinet Beylouni Carbasse Guény Valot Vernet correspond parfaitement à ces aspirations.

Pouvez-vous nous décrire votre parcours ?

J'ai un parcours assez simple puisque, après une première expérience dans un cabinet de San Francisco, j'ai fait tout mon apprentissage pendant neuf très belles années chez De Pardieu Brocas Maffei.

Qui a le plus influencé votre carrière ?

Je suis justement admiratif de Charles-Henri de Pardieu et Thierry Brocas à la fois pour la finesse et le pragmatisme de leur analyse des situations juridiques, mais aussi pour le cabinet de référence qu'ils ont réussi à créer en moins d'une vingtaine d'années. C'est un exemple magnifique pour le cabinet Beylouni Carbasse Guény Valot Vernet 

Quels sont vos domaines de compétences ?

J'assiste les clients du cabinet dans toutes leurs opérations de haut de bilan, c'est-à-dire les opérations de fusions-acquisitions, les levées de fonds et augmentations de capital, les réorganisations de sociétés, mais aussi les conflits d'actionnaires. J'ai travaillé chez De Pardieu pour un certain nombre d'acteurs de l'agro-alimentaire et je continue à régulièrement intervenir dans ce domaine.

Quelles sont, selon vous, les actualités marquantes de ces dernières semaines dans ces secteurs d'activité ?

La crise de la dette a bien évidemment des conséquences significatives sur les opérations corporate, obligeant notamment les entreprises et les équipes de gestion des fonds d'investissement à trouver de nouvelles sources de financement pour réaliser leurs opérations.

Je pense aussi que les périodes de crise et d'ajustement comme nous en vivons une actuellement offrent de vraies opportunités pour les cabinets comme le nôtre, c'est-à-dire pouvant offrir des standards de qualités identiques à ceux des grands cabinets mais sans leurs coûts de structure et avec une proximité dans la relation avocat-client beaucoup plus intéressante.

Qui conseillez-vous ?

Des sociétés de toutes tailles, notamment dans le domaine de l'agro-alimentaire, et des acteurs du Private Equity.

Quels sont vos objectifs pour le cabinet ?

Que le cabinet continue à se constituer un portefeuille de clients avec lesquels il créé une relation privilégiée et de confiance et qu'il devienne, grâce à ces derniers, un cabinet reconnu dans chacun de ses domaines d'intervention.


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