Astrid Mignon Colombet est docteur en droit, elle est entrée au cabinet après sa thèse et une première expérience chez des avocats aux conseils.
Sa thèse de Doctorat, publiée aux éditions Économica, portait sur L’exécution forcée en droit des sociétés ; elle a été menée sous la direction du Professeur Yves Guyon.
Sa première collaboration chez des avocats aux conseils lui est apparue comme une transition entre le monde théorique de l'université et la réalité de la défense que mènent les avocats en relation concrète avec les clients. Elle y a appris à manier les concepts juridiques et à ciseler des argumentaires.

Forte de cette maîtrise technique, Astrid rejoint Soulez Larivière & Associés comme collaboratrice en 2004, elle est intervenue depuis sur de nombreux dossiers du cabinet.
Elle s'intègre ainsi dès son arrivée sur des dossiers d'envergure, ceux de catastrophes concernant la responsabilité des entreprises. Ainsi, le dossier Érika où elle travaille plus spécifiquement sur les contradictions entre la loi pénale française de 1983 sur la pollution et la convention internationale MARPOL ; ou le dossier Concorde où elle défend le Responsable de la DGAC incriminé, aux côtés de Daniel Soulez Larivière.
Astrid s'investit aussi dans les multiples facettes du « principe de précaution ».

Soulez Larivière & Associés est un cabinet qui tient à conserver sa taille humaine, et au sein duquel chaque dossier est traité sur mesure. L'adhésion d'Astrid aux principes du cabinet et son implication auprès des clients ne pouvaient que convaincre les associés de l'inviter à les rejoindre dans l'association.