Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre Szpiner Toby Ayela Semerdjian ?

Leur vision de la profession d’avocat, leur façon de gérer la relation Client et surtout la qualité de services et la réactivité qu’ils proposent.

Pouvez-vous nous décrire votre parcours ?

A l’issue d’études de droit des affaires, avec une spécialisation en social en fin de cycle, j’ai intégré un cabinet d’avocats dit « full service » puis j’ai continué de progresser au sein de différentes structures françaises ou américaines dans lesquelles j’ai pu développer de nouvelles compétences (l’audit, la clientèle de culture juridique étrangère, côtoyer le monde du chiffre, etc.) et gérer des dossiers complexes mais passionnant. Ces expériences m’ont fait prendre conscience que notre profession impose l’indépendance mais ne se conçoit que dans l’échange avec des confrères qui partagent les mêmes valeurs et ont les mêmes exigences. C’est ce m’a décidé à créer avec Gwenaëlle TEISSEDRE le département social au sein du Cabinet Szpiner, Toby, Ayela, Semerdjian.

Qui a le plus influencé votre carrière ?

La première avocate avec qui j’ai collaboré car elle m’a appris que pour réussir dans ce métier il faut avant tout de la rigueur et un vrai sens du service Client, je lui donne encore raison aujourd’hui et cela fait 14 ans que je suis ce conseil en apparence évident mais contraignant.

Quel est votre meilleur souvenir dans votre carrière ?

Celui que je vais construire demain et les jours qui viennent avec mes associés et nos Clients.

Quels sont vos domaines de compétences ?

Le droit du travail, plus particulièrement les relations individuelles et le contentieux et le droit de la sécurité sociale essentiellement en sa partie assistance à contrôle URSSAF et optimisations des charges sociales et des rémunérations

Quelles sont, selon vous, les actualités marquantes de ces dernières semaines dans ces secteurs d'activité ?

L'arrêt de la Cour d’appel de renvoi dans le dossier de la crèche Baby-Loup car cela illustre à quel point le droit social est mouvant et à l’écoute de la société, j’aime ce mouvement même s’il est parfois une source d’insécurité juridique qui peut inquiéter les entreprises. Notre travail est donc d’essayer d’anticiper avec les eux les changements et de les y préparer.

Qui conseillez-vous ?

Des entreprises françaises de toutes tailles ou filiales de sociétés étrangères, ainsi que des cadres et chefs d’entreprise qui veulent sécuriser leur pratique tout en conservant de la souplesse dans leur fonctionnement pour pouvoir s’adapter rapidement aux évolutions de leur secteur d’activité et à la concurrence.

Quels sont vos objectifs pour ce cabinet ?

De proposer à nos clients une approche à 360° de leurs dossiers en prenant notamment en compte la composante pénale qui est croissante dans les problématiques sociales.

Propos recueillis par Arnaud DUMOURIER