Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre Racine ?

Deux raisons ont principalement guidé mon choix de rejoindre Racine : tout d’abord, je me suis retrouvé dans les valeurs du cabinet. Ensuite, relever le challenge consistant à créer un département fiscal à-même de répondre aux besoins de nos clients français et internationaux et compléter ainsi l’offre du cabinet.

Pouvez-vous nous décrire votre parcours ?

Après avoir débuté chez Arthur Andersen, j’ai rejoins Salans, puis Allen & Overy et enfin Landwell où j’ai passé les 6 dernières années.

Qui a le plus influencé votre carrière ?

Sans aucun doute Jean-Pierre Legal, dont les cours de fiscalité des entreprises à Paris II-Assas m’ont donné le gout de la chose fiscale.

Quel est votre meilleur souvenir dans votre carrière ?

J’espère qu’ils sont à venir !

Quels sont vos domaines de compétences ?

J’interviens sur l’ensemble des problématiques fiscales rencontrées par nos clients, avec une pratique établie en matière de fusions-acquisitions, d’opérations immobilières, de structuration de fonds et de gestion patrimoniale.

Quelles sont, selon vous, les actualités marquantes de ces dernières semaines dans ces secteurs d'activité ?

Sans conteste la loi de finance rectificative votée cet été, qui a, entre autre choses, modifié les modalités d’imputation des déficits des entreprises, porté de 5% à 10% la quote-part de frais et charges, et redessiné les contours de l’ISF et du bouclier fiscal.

Qui conseillez-vous ?

Principalement des groupes français et internationaux, des fonds d’investissements et des family offices.

Quels sont vos objectifs pour  le cabinet ?  

Développer les synergies avec les différents départements du cabinet afin de pouvoir proposer une offre de service globale juridique et fiscale. A plus long terme, faire de la pratique fiscale de Racine l’une des plus reconnues sur le marché.