COVID-19 : les avocats du Barreau de Montpellier répondent bénévolement aux entreprises et aux particuliers

Institutions
Outils
TAILLE DU TEXTE

Les syndicats des avocats (ACE, SAF, UJA) et l’Ordre des Avocats du Barreau de Montpellier se mobilisent pour aider les particuliers et les entreprises à traverser dans les meilleures conditions possibles les crises sanitaire et économique liées à l’épidémie de COVID-19.

Les Avocats du Barreau de Montpellier ont décidé de se mobiliser pour répondre bénévolement aux interrogations légitimes des entreprises et des particuliers.

En effet, les entrepreneurs se posent de nombreuses questions juridiques liées aux effets du confinement : mon établissement fait-il partie de ceux qui doivent fermer ? Puis-je bénéficier d’aides de l’État ? Que faire des contrats en cours ? Comment réorganiser mon entreprise ? Les particuliers quant à eux sont confrontés à des problématiques en matière sociale, familiale ou encore relevant du droit des étrangers. 

Une adresse mail unique pour un avis simple et gratuit 

Les personnes souhaitant bénéficier d’un conseil gratuit sont invitées à transmettre leurs questions à l’adresse mtp-avocatsolidaires@outlook.fr, en précisant leurs nom, prénom, qualité, adresse mail et numéro de téléphone.

Les questions doivent être précises et succinctes, en lien direct avec la crise du coronavirus. Elles devront porter sur un des cinq thèmes suivants : 

  • Fonction publique : droit de retrait, conditions de travail, respect par l’administration des règles sanitaires pour la protection de la santé, etc. 
  • Droit du travail : droit de retrait, activité partielle, garde d’enfants, etc. 
  • Entrepreneurs : aides, entreprises en difficulté, fiscalité, etc. 
  • Droit de la famille : droit de visite et d’hébergement, etc. 
  • Droit des étrangers : renouvellement des titres, demande d’asile pendant la période de confinement, etc. 

Les avocats s’engagent à apporter dans les meilleurs délais « une réponse adaptée mais simple, dans la limite de nos connaissances actuelles, en raison du caractère extraordinaire de la crise et de l’absence de recul sur les textes juridiques. En aucun cas l’avis donné ne pourra être considéré comme une consultation, s’agissant d’une recommandation en l’état des informations connues, sous réserve des précisions à fournir et de l’évolution de la règlementation. » 

Voir aussi :