Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre Redlink ?

Redlink est un cabinet dynamique et innovant, avec une forte culture du travail en équipe, et qui est d’ores et déjà très au fait de la valeur ajoutée de l’activité « Distressed ». Le cabinet est également très moteur sur les sujets blockchain et Web3. Les synergies entre nos pratiques ont donc été rapidement évidentes, et le facteur humain a fait le reste.

Quelle est la spécificité de votre pratique ?

Mon approche du Restructuring est résolument pragmatique : je m’attache à identifier et classifier les enjeux clés des clients pour les sécuriser techniquement, ce qui permet d’être plus souple et de ne pas rajouter de tension sur des sujets non stratégiques. La dimension humaine de la relation tant avec mes clients qu’avec les parties prenantes au dossier est un facteur important souvent souligné.

Enfin, je n’hésite pas à sortir des sentiers battus, par exemple avec un fort historique d’utilisation de la fiducie dans des contextes de restructurations à fort enjeu, et aujourd’hui avec un prisme spécifique sur les sujets liés à la blockchain et aux actifs numériques. 

Quels sont vos objectifs chez Redlink ?

Il s’agit avant tout de contribuer à un succès collectif, en intégrant pleinement les différentes compétences du cabinet et les miennes, au service d’un accompagnement à 360° de nos clients. Nous sommes déterminés à rester à la pointe de l’innovation, tant juridique que technique. 

Les entreprises vont avoir besoin de cet accompagnement tout-terrain pour faire face aux temps difficiles qui s’annoncent, quand bien même elles seraient sur un secteur porteur, mais risqué, comme le web3.

Propos recueillis par Arnaud Dumourier (@adumourier)